« Les gravures sur bois de Jozef Cantré étaient révolutionnaires quand elles parurent dans Ruimte, Sélection, Opgangen de Wies Moens », écrivait en 1933 le critique d’art néerlandais Jan Engelman. « Je me souviens que, durant la période agitée et explosive qui suivit la guerre, nous attendions avec impatience les nouveaux numéros et nous les parcourions aussitôt pour voir si l’artiste, alors en exil aux Pays-Bas, les avait par hasard illustrés. »